Histoire du Mouvement Desjardins, tome  I

Histoire du Mouvement Desjardins, tome I

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... Ceux qui l'ont côtoyé ont à peu près tous noté chez lui les mêmes traits de personnalité. On le décrit toujours comme un travailleur acharné, méticuleux, d'une ténacité exceptionnelle et d'une fidélité indéfectible à ses engage­ ments. ...

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... Il étudie par exemple les traités d'économie politique de Léon Say, F. Hervé Bazin et Charles Perrin ainsi que les ouvrages d'auteurs comme Claudio Jannet, Jules Méline ou Paul LeRoy-Beaulieu. ...

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... Aucun article ne traite des dépôts. Notons d'ailleurs que la loi parle de coopératives de crédit et non pas de coopératives d'épargne et de crédit. ...

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... Avant la fin du printemps 1913, il avait déjà fondé sept caisses dans cette province en plus de collabo­ rer, en 1908, à la mise sur pied d'une caisse d'économie réservée à l'usage des fonctionnaires fédéraux, la Civil Service Savings and Loan Society ...

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... La percée la plus spectacu­ laire est réalisée dans le Témiscamingue où, en l'espace de deux semaines au mois d'octobre 1 9 1 1 , Desj ardins fonde coup sur coup sept caisses populaires dans des paroisses de colonisation. ...

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... La Beauce vient en tête avec sept caisses. En dehors de cette périphérie, seuls les comtés de Champlain, Matane et Mégantic se distinguent véritablement. ...

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... Il y présente la caisse populaire comme un moyen très efficace pour « améliorer la condition matérielle et morale [du] peu­ ple » parce qu'elle accoutume les jeunes gens à l'économie, les sous­ trait aux dangers de l'intempérance et du luxe et leur fournit ...

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... Il traite aussi de la caisse populaire dans la revue Le Messager canadien du Sacré-Cœur et la présente comme « la plus nécessaire de toutes les œuvres économiques et sociales » 4 8 . ...

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... vraisemblance, ce sont ces coopératives de colonisa­ tion animées par le clergé qui vont favoriser la pénétration des caisses dans les paroisses de colonisation des comtés de Labelle et de Témiscamingue, où Desjardins procède à une fondation en 1908 et à sept ...

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... Car c'est là que nous avait conduits le servilisme colonial , nous en étions rendus à croire qu'un Cana� dien�français est , par nature et par éducation , forcément incom� pétent à traiter toute question économique et financière . De plus, M . ...