... En 1688, Denonville, en vue de faciliter des négociations de paix, demande le retour des galériens, après les avoir convenablement vêtus et « traités avec douceur ». ...

Histoire populaire du Québec, tome 1
... Vingt-sept autres personnes, dont cinq esclaves noirs, prennent le chemin du Canada. L’expédition est un succès et les Canadiens n’ont à déplorer que 21 pertes de vie, soit 17 chez les Canadiens et quatre chez les Amérindiens. ...
... La valse Hésitation La guerre secouera l’Europe jusqu’à la signature du traité de paix à Ryswyck, en 1697. À part quelques escarmouches, Français et Anglais n’en viendront plus directement aux coups en Amérique du Nord. ...
... En 1693, les Anglais reprennent possession du fort Albany et en sortent les Canadiens qui y faisaient la traite des fourrures. Les pertes de la Compagnie du Nord sont évaluées à 200 000 livres. ...
... sortirons du fort avec nos armes, tambour battant, mèche allumée, balle en bouche, enseignes déployées, et emporterons avec nous les deux canons venus de France ; […] nous emporterons avec nous tous les castors et autres marchandises que nous avons traités ...
... Le 4 août se tient en dehors de la ville la grande assemblée générale au cours de laquelle doit être ratifié le traité de paix. ...
... Trois cent dix-sept se retrouvent prisonniers. On expédie au fort une soixantaine de femmes « qui auraient pu causer du désordre ». Catalogne propose au major Jacques L’Hermite « d’aller droit au fort, les fossés étant comblés de neige ». ...
... Je vous écris ceci pour vous dire qu’un pareil traitement des chrétiens sera estimé barbare par toute l’Europe, et que j’attends avec justice que vous retirerez tous ces captifs des mains des Sauvages et que vous me les rendrez comme j’ai fait il y a ...
... Pour le second article touchant la sévère captivité de vos gens, le sieur Livingstone et ceux qui l’ont accompagné pourront vous rendre compte de la manière dont vos gens sont traités dans mon gouvernement. […] Par votre seconde [lettre], vous me marquez ...
... datée du 28 juin 1708, il justifie ainsi sa conduite : « Dès 1703, et depuis tous les ans, nous avons une espèce de suspension d’armes entre le gouvernement d’Orange [Albany] et nous à la prière des Iroquois, mais nous n’avons de part ni d’autre aucun traité ...