Histoire populaire du Québec, tome 1

Histoire populaire du Québec, tome 1

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... Il y est aussi précisé qu’«  aucune église, maison ou édifice de quelque nature ne sera incendié ou détruit sans un ordre exprès ». « Les paysans demeurant encore dans leur maison, leurs femmes et leurs enfants seront traités avec humanité ; si une femme ...

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... Deux jours plus tard, sept navires anglais remontent le fleuve au-dessus de Québec. On craint un débarquement à l’ouest de la ville et d’avoir ainsi à faire face à trois camps anglais. ...

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... Après une nuit passée à bord où les passagères sont très bien traitées, quelques-unes dînant même à la table de Wolfe, il y a trêve parlementaire. ...

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... À sept heures et quart, il envoie un message à Bougainville : Il paraît bien certain que l’ennemi a fait un débarquement à l’anse au Foulon. Nous avons mis bien du monde en mouvement. Nous entendons quelques petites fusillades. ...

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... À mesure que le monde arrivait, il était rangé dans l’ordre de bataille ordonné par M. le marquis de Montcalm qui fit placer sur les ailes de notre colonne sept à huit cents Canadiens et Sauvages qui, par leur fusillade et le feu qu’ils mirent à la maison ...

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... Townshend un court billet « lui livrant la ville  », selon les mots de l’historien Eccles. «  Obligé de céder Québec à vos armes, j’ai l’honneur de demander à Votre Excellence ses bontés pour nos malades et blessés et de lui demander l’exécution du traité ...

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... De plus, le vainqueur s’engage à ne pas toucher «  aux effets des officiers et habitants absents, et à ne pas forcer qui que ce soit à quitter sa maison jusqu’à ce qu’un traité définitif entre Sa Majesté très chrétienne et Sa Majesté britannique ait réglé ...

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... sage, généreux, prêt à vous tendre les bras pour vous affranchir d’un despotisme vigoureux et à vous faire goûter avec eux les douceurs d’un gouvernement juste, modéré et équitable ; que, si vous ne profitez pas de cet avis, vous avez à attendre le traitement ...

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... Le commandant en chef exhorte ses officiers à traiter moins durement les miliciens. «  Vous savez, leur écrit-il, qu’on nous accuse d’agir avec trop de sévérité envers eux ; il est essentiel de les bien traiter et qu’ils vivent en bonne intelligence avec ...

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... Vers les sept heures, l’armée anglaise, forte de 3 900 hommes, commence à marcher vers les Plaines d’Abraham, « avec une artillerie respectable » d’une vingtaine de pièces. Lévis peut compter, quant à lui, sur 7 000 soldats ou miliciens. ...