... Le 27 décembre 1713, l’intendant Michel Bégon interdit aux habitants de Québec d’aller faire leur provision de bois sur les terres de la côte Saint-Jean, sans la permission des propriétaires. ...

Histoire populaire du Québec, tome 1
... 334 histoir e popu l a ir e du québec « Ton moulin, ton moulin… » Le développement de l’exploitation forestière amène une multiplication des moulins à scie. En 1717, on en dénombre 17. On en compte 28 en 1720, 30 en 1721 et 52 en 1734. ...
... L’armateur de Québec s’intéresse de plus en plus à la construction de navires. En 1710, il fait aménager à ses frais le Cul-de-Sac, un bassin naturel situé près de la Batterie royale à Québec. ...
... Malgré tout, en 1723, il se construit à Québec deux vaisseaux de guerre et six navires marchands. L’année suivante, sept navires sont mis en chantier. ...
... En 1737, les négociants de la colonie préfèrent acheter treize navires en Nouvelle-Angleterre, se contentant d’en faire construire seulement deux à Québec. ...
... 338 histoir e popu l a ir e du québec les hauts de deux navires marchands qui ont été construits et aux radoubs de plusieurs autres ; si je les avais fait commander, ces navires n’auraient pu sortir. » Pour assurer un approvisionnement adéquat en bois ...
... 340 histoir e popu l a ir e du québec port de 700 tonneaux pouvant être armé de 45 canons. Ses dimensions sont un peu plus impressionnantes que celles du Canada : 130 pieds de longueur par 35 de largeur. On utilisera des bois de pin et de chêne. ...
... Jusqu’à la chute de Québec, d’autres navires seront mis en chantier tant à Québec qu’à Sorel ou au lac Champlain. ...
... 342 histoir e popu l a ir e du québec De fait, conclut l’historien Jacques Mathieu, la construction navale à Québec fut une industrie métropolitaine par ses capitaux et sa finalité, dans ses méthodes, par l’encadrement de la maind’œuvre, en somme dans ...
... , à raison de quinze livres le baril de quarante-cinq pots et lui sera payé en outre le fret desdits barils jusqu’à Québec ». ...