... Mais les commis de la compagnie voient d’un mauvais œil l’installation de gens dont le but premier n’est pas la traite des fourrures. ...

Histoire populaire du Québec, tome 1
... Le peuple se manifeste Le duc de Montmorency décide de confier le monopole de la traite des fourrures à une nouvelle compagnie formée par Ézéchiel et Guillaume de Caën. Le 26 novembre 1620, la Compagnie de ...
... l a fondat ion de québec 69 Montmorency obtient pour onze ans d’abord, puis pour quinze, l’exclusivité de la traite. ...
... couverture du logement ; toutes les fenêtres faites et la plupart des portes, de sorte qu’il n’y avait plus qu’à les appliquer ». « Je laissai, ajoute Champlain, deux fourneaux de chaux cuite, de la pierre assemblée et il ne restait plus en tout que sept ...
... Les habitants de la colonie pourront faire la traite, mais ils seront obligés de vendre les peaux aux commis de la compagnie. ...
... Pourtant, la situation est quasi désespérée à Québec, « chaque homme étant réduit à sept onces de pois par jour, n’y ayant pour lors que cinquante livres de poudre à canon, peu de mèche et de toutes les autres commodités ». ...
... Sans doute ignore-t-il la signature du traité de Suse puisqu’il a quitté Gravesend au mois de mars. Le commandant anglais veut absolument connaître en détail la situation qui prévaut à Québec. ...
... On apprend la ratification du traité de Suse. Il devient alors évident que la capitulation de Québec a eu lieu en temps de paix, « ce qui fâcha grandement ledit Kirke ». ...
... Thomas Kirke déclare à Émery de Caën que la traite s’annonce tellement faible qu’elle sera même insuffisante pour les Anglais. ...
... En guise de compensation, il obtient le monopole de traite des fourrures pour la période d’une année, « à la condition, note l’historien Marcel Trudel, qu’il n’y aille pas lui-même et que soient catholiques tous ceux qui hiverneront à Québec ». ...