... En effet, depuis le 11 novembre 1759, des soldats anglais campent dans les églises de Sainte-Foy et de Lorette pour mieux contrôler « les avenues vers Québec », maintenir la population en paix et empêcher une attaque-surprise contre la ville. ...
Histoire populaire du Québec, tome 1
... La brigade du Royal Roussillon occupa cette droite ; celle de La Sarre, la gauche ; celle de Berry, celle de la Marine et celle des milices de la ville de Montréal occupaient le centre. ...
... M. de Charly, aide-major d’un bataillon de cette brigade, fut sur le point de se saisir d’un drapeau ; mais nos ennemis, moins fatigués que nous, nous gagnèrent en vitesse et entrèrent dans la ville, sans avoir pu cependant sauver une seule pièce d’artillerie ...
... S’il bat pavillon français, Québec devra se rendre. S’il est de nationalité anglaise, le général français saura que tout est fini ! Des centaines de personnes scrutent l’horizon du côté de l’est tous les jours. ...
... 464 histoir e popu l a ir e du québec circonstances présentes », écrit Murray. Le lendemain matin, vers les dix heures, les canons français commencent à bombarder Québec. Mais les munitions diminuent rapidement. ...
... 466 histoir e popu l a ir e du québec du fleuve Saint-Laurent. C’en est fait des secours que l’on attendait impatiemment. ...
... Murray quitte Québec le 14 juillet, y laissant 2 759 hommes, dont quelques invalides. Dans la région de Neuville, la flotte qui comprend 79 bateaux de différents tonnages essuie quelques coups de canons et de fusils sans subir de dommage. ...
... 468 histoir e popu l a ir e du québec à Dumas, le commandant de Deschambault, pour l’avertir « que, si ces Sauvages ne sont pas immédiatement rappelés ou si quelque cruauté est exercée contre nos troupes, l’ordre sera immédiatement donné de ne donner ...
... 470 histoir e popu l a ir e du québec Les autorités de la colonie se réunissent et on propose de demander une suspension d’armes jusqu’au 1er octobre. ...
... L e r é g i m e m i l i ta i r e 1760-1763 L e 8 septembre 1760, en fin de journée, le général Jeffery Amherst s’empresse d’écrire à William Pitt, premier ministre anglais : « J’envoyai le major Abercrombie à la ville [Montréal] pour me rapporter les ...