Histoire populaire du Québec, tome 1

Histoire populaire du Québec, tome 1

Page 85

... Sa première tâche est de s’assurer que la traite sera bonne et que les Anglais ne viendront pas devancer les Français dans ce commerce. Il fait établir un poste de traite sur un petit îlot situé en face de Deschambault. ...

Page 86

... histoir e popu l a ir e du québec On demande des Français Les Algonquins de la région des Trois-Rivières sont nombreux à Québec, le 24 mai 1633, pour saluer le retour de Champlain et lui demander la construction d’un fort français et d’un poste de traite ...

Page 88

... ladite compagnie en diminution du nombre qu’elle doit y faire passer et, à cet effet, en remettra tous les ans les rôles au bureau de ladite compagnie. » Même si Giffard devient seigneur de Beauport, il n’obtient pas pour autant le droit de faire la traite ...

Page 89

... Les Trois-Rivières En 1634, Champlain juge qu’il a le personnel suffisant pour établir un nouveau fort qui servira en même temps de poste de traite des fourrures. ...

Page 93

... En terre iroquoise, les prisonniers sont bien traités, même s’ils savent qu’ils peuvent être tués à n’importe quel moment. « Quelques ...

Page 101

... La pêche et la traite A u xviie siècle, les catholiques de l’Europe occidentale et de l’Amérique du Nord se privent de viande pendant plus de cinq mois par année. L’abstinence, à cette époque, est rigoureusement observée. ...

Page 106

... L’échafaud a habituellement une trentaine de mètres de longueur et une largeur d’environ sept mètres. Une partie s’avance au-dessus de la mer et le reste est construit sur le rivage. Le sel est entreposé sur la partie terrestre. ...

Page 107

... Ils se mettent sept à sept au plat ; s’il se trouve un homme ou deux de plus, l’on fait deux plats de huit. ...

Page 108

... C’est lui qui, habituellement, traque la bête, la tue, détache et traite sommairement la peau. Au début, il vient troquer le produit de sa chasse là où les Européens ...

Page 109

... Mais rapidement, les Français décident de se rendre au-devant de l’Amérindien, alors que les Anglais se contentent souvent d’établir des postes de traite et d’attendre la venue des chasseurs. ...