Histoire populaire du Québec, tome 1

Histoire populaire du Québec, tome 1

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... Personne n’ose parler du projet au gouverneur Carleton lorsque celui-ci s’arrête quelques heures à Trois-Rivières, en route vers Québec. ...

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... Le commandement de la ville est laissé à David Wooster. Cinq jours plus tard, soit le 3 décembre, à Pointe-aux-Trembles, à quelques kilomètres de Québec, les deux armées se rencontrent. ...

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... L’Hôpital Général de Québec, situé en dehors des murs de la ville, « capitule » le jeudi 16 novembre. Nous avons été faites prisonnières […] par la troupe de M. Arnold qui est venu par la Nouvelle-Beauce, écrit la sœur Saint-Michel, ...

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... Mais tu m’avoueras qu’il est honteux qu’une ville se rende sans figurer un peu. Je crois qu’il n’en sera pas ainsi de celle de Québec. ...

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... Le 30 novembre, la garnison de Québec comprend 1 600 hommes, soldats, marins ou miliciens. Plus de 3  200  femmes et enfants demeurent en ville. ...

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... L’ é c h e c a m é r i c a i n 1776 D ès le début de décembre 1775, la ville de Québec ne peut plus compter sur des renforts en provenance de la mère patrie. ...

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... 606 histoir e popu l a ir e du québec du faubourg Saint-Roch où l’on croit que les Américains se sont établis. Le soir du même jour, Montgomery écrit pour la dernière fois à son épouse  : «  En ville, on est sur le qui-vive, et avec raison. ...

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... Dans sa lettre aux citoyens de Québec, le chef des armées américaines dans la province de Québec utilise à peu près les mêmes expressions et images menaçantes que dans la sommation envoyée aux habitants de Montréal. ...

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... La milice de la haute ville campe dans le couvent des récollets, alors que celle de la basse ville passe elle aussi cette nuit de fête sous les armes. ...

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... Une fois la basse ville conquise, les deux armées se lanceront à l’attaque de la haute ville. Les Américains misent tant sur la sympathie des Canadiens de la ville que sur l’appui effectif de quelques-uns d’entre eux. ...