Histoire populaire du Québec, tome 1

Histoire populaire du Québec, tome 1

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... En bon officier militaire, il ne dédaigne pas la traite, car cela lui permet d’arrondir quelque peu sa solde. ...

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... Martre et rat musqué Les martres font aussi l’objet de l’attention des chasseurs et des traiteurs. « Elles se tiennent ordinairement au milieu des bois d’où elles ne sortent que tous les deux ou trois ans, mais elles en sortent toujours en grandes troupes ...

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... Un des premiers objets de troc est la hache de traite qui remplace le tomahawk de pierre. « En effet, écrit l’historien Russel Bouchard, l’Indien constate rapidement la supériorité de la hache de métal quelle que soit sa forme. ...

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... Une bourgade de sept cents hommes dispose alors de trois cents arquebuses. En Nouvelle-France, en 1636, la vente d’armes à feu était restreinte aux Amérindiens qui s’étaient convertis ! ...

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... traite. ...

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... Une ordonnance royale du 3 mai 1681 restreint à Québec, à Trois-Rivières et à Montréal la traite des fourrures, sauf pour ceux qui ont obtenu des permissions spéciales à cet effet, soit des congés de traite. ...

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... L’expression apparaîtra vers 1675 pour désigner ceux qui continuent à faire la traite sans autorisation des autorités. Les voyageurs munis d’un congé prennent le nom d’engagés. ...

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... Souvent ces aventuriers sont des fondateurs de postes de traite ou ...

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... Ils servent de trait d’union entre Français et Amérindiens dont ils parlent parfaitement la langue et connaissent bien la manière de vivre. ...

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... Hollandais et Français s’intéressent surtout à la traite des fourrures. Les premiers se sont alliés aux Iroquois qui leur servent d’intermédiaires dans le commerce. ...