... Les Hollandais, principaux bénéficiaires de la traite avec les Iroquois, ne peuvent demeurer impassibles devant la destruction de leur commerce. ...

Histoire populaire du Québec, tome 1
... La guérilla iroquoise a comme conséquence immédiate de diminuer considérablement le volume de traite des fourrures. Les autorités françaises cherchent un moyen de mettre fin aux hostilités. Elles ont entre leurs mains deux prisonniers agniers. ...
... Environ sept cents Hurons sont tués ou faits prisonniers. Au mois de mars 1649, les autres missions huronnes subissent la furie iroquoise. ...
... Les Iroquois remportent une victoire facile : le gouverneur et quatorze Français sont tués et sept autres sont faits prisonniers. Un de ces derniers réussit à écrire un message avec un morceau de charbon. ...
... Le 12 février, le gouverneur d’Ailleboust leur fait la réponse suivante : C’est chose étrange que toi, Agnier, tu me traites comme si j’étais ton captif. Tu me tues ; moi, qui suis Français, je crie : on m’a tué. ...
... La situation est telle qu’en 1658 et en 1659 peu de canots de traite arrivent dans la colonie. L’économie stagne gravement. Les Iroquois, craignant une invasion de leur territoire, demandent l’aide des Hollandais. ...
... La fuite des Hurons Après une accalmie de cinq ou sept jours, les renforts agniers arrivent enfin. Le chef huron demande aux Français de lui permettre de négocier « quelque bonne composition ». ...
... Cinq jours plus tard, soit le 1er février, l’île de Montréal peut compter sur vingt escouades de sept volontaires. La petite guerre n’en continue pas moins. À l’automne de 1663, les renforts promis ne sont toujours pas arrivés. ...
... esprit de contradiction et de mauvaise humeur, se retira chez les Anglais, il y a environ deux ans, et leur donna, à ce que l’on croit, la connaissance de beaucoup de choses du pays des Iroquois, et du grand profit qu’ils en pourraient tirer pour la traite ...
... Henri Chastelard de Salières commande les sept compagnies qui sont affectées à cette construction. L’officier se plaint qu’une bonne partie de ses hommes sont malades. ...