... Les poissons sont acheminés vers les grandes villes et vendus soit en gros, soit au détail. Pour chaque cent morues vendues, on en remet cent vingt, à cause des pertes. ...

Histoire populaire du Québec, tome 1
... 110 histoir e popu l a ir e du québec L’autre façon de le prendre sous la glace est plus noble, mais seulement les plus habiles en ont l’usage. Il faut d’abord briser à coups de hache la cabane du castor. La demeure du castor est admirable. ...
... 112 histoir e popu l a ir e du québec draps, des flanelles, des bas au métier et autres ouvrages semblables, mais avec peu de succès. Cet essai fit connaître que le poil de castor n’est bon qu’à faire des chapeaux. ...
... 114 histoir e popu l a ir e du québec ses gens aucunement endommagés. ...
... 116 histoir e popu l a ir e du québec disposent d’armes à feu. Une bourgade de sept cents hommes dispose alors de trois cents arquebuses. ...
... Une fois l’an, Québec, Trois-Rivières et Montréal deviennent des postes de traite. ...
... Une ordonnance royale du 3 mai 1681 restreint à Québec, à Trois-Rivières et à Montréal la traite des fourrures, sauf pour ceux qui ont obtenu des permissions spéciales à cet effet, soit des congés de traite. ...
... La présence en ville de quelques centaines d’Amérindiens n’est pas sans engendrer un peu de désordre, surtout certaines années. La Hontan dit avoir été témoin, en 1685, d’échanges non prévus dans les ordonnances. A-t-il exagéré ou inventé ? ...
... 120 histoir e popu l a ir e du québec ces drôles qui connaissent aussi bien que nous les jolies marchandes ne manquent pas de leur offrir ce qu’elles daignent quelquefois accepter… » Les coureurs des bois La traite des fourrures pratiquée à la française ...
... 122 histoir e popu l a ir e du québec Comme il ne faut pas beaucoup de temps pour faire le trafic des fourrures, lit-on dans le Mémoire de 1705, la vie des coureurs des bois est une perpétuelle oisiveté, qui les conduit à toutes sortes de débauches. ...