Hôpital Maisonneuve-Rosemont (L’)

Hôpital Maisonneuve-Rosemont (L’)

Page 74

... Malheureusement, la réputation des médecins dans la gestion des soins de santé prend un dur coup à Québec. ...

Page 75

... Orienté vers l’enseignement universitaire et postuniversitaire, Maisonneuve s’est rapidement imposé au milieu des années 1960, dans la majorité des spécialités reconnues par le Collège des médecins et chirurgiens du Québec de même que par le Collège royal ...

Page 82

... Dans le Québec francophone, c’est l’équipe de Maisonneuve qui est la mieux placée pour ce genre d’intervention. ...

Page 83

... C’est la première greffe rénale dans le Québec francophone75. L’intervention est un succès : 17 jours plus tard, l’évolution du patient est jugée excellente. ...

Page 84

... Ce dernier est un pionnier de la chirurgie de la rétine dans la province de Québec. ...

Page 86

... Les retombées de la réputation du docteur Lamoureux sur l’Hôpital Maisonneuve, qui a contribué à son époque à la formation de très nombreux chirurgiens généraux au Québec, sont largement comparables à celles du docteur David sur l’Institut de cardiologie ...

Page 90

... omnipraticiens du Québec (FMOQ). ...

Page 92

... En effet, la vie hospitalière au Québec, durant la décennie 1970, ne sera pas un long fleuve tranquille. ...

Page 93

... chapitre iv L’Hôpital Maisonneuve-Rosemont 1970-1980 A lors que l’Hôpital Maisonneuve s’efforce d’obtenir sans succès de l’argent pour construire un nouvel hôpital, le gouvernement du Québec, en 1966, confie à une commission d’enquête sur la santé ...

Page 94

... À cette époque, la tuberculose, dénommée aussi « peste blanche », est une maladie infectieuse très répandue au Québec. ...