Hydro-Québec et l'État québécois, 1944-2005

Hydro-Québec et l'État québécois, 1944-2005

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... Contrairement à ce que plusieurs études laissent entendre en présentant Hydro-Québec comme un simple allié des entreprises privées d’électricité8, elle permet également une appropriation partielle des ressources hydrauliques par l’État québécois dans ...

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... Selon lui, Hydro-Québec doit donc étendre son champ d’intervention en dehors de Montréal afin de favoriser certaines régions de la province, dont l’Abitibi. ...

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... du sud et du centre du Québec. ...

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... Terme utilisé notamment par Henri DORION, «  Les frontières du Québec  : du pain sur la planche », dans Alain-G. Gagnon et Alain Noël (dir.), L’espace québécois, Montréal, Québec Amérique, 1995, p. 247-248. ...

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... Reconnaissant ce besoin urgent de la Gaspésie, certains élus de l’Opposition se montrent ouverts à l’idée qu’Hydro-Québec fournisse de l’électricité à cette région pour qu’elle puisse se développer. ...

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... Au moins depuis le début de l’année 1956, le gouvernement Duplessis réserve la quasi-totalité des pouvoirs hydroélectriques de la rivière Manicouagan à Hydro-Québec. ...

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... Grâce aux politiques et orientations utilisant HydroQuébec pour encourager l’industrialisation, ces régions déjà partiellement colonisées se voient davantage occupées, surtout sur le mode des villes-ressources, grâce à l’entreprise privée. ...

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... C’est une ville-ressource – l’hydroélectricité – au même titre que les villes minières ou forestières, à l’exception du fait que l’employeur est Hydro-Québec, une société d’État. ...

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... .), L’espace québécois, Montréal, Québec Amérique, 1995, p. 147-148. 27. Ibid., p. 148. ...

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... .), René Lévesque  : l’homme, la nation, la démocratie, Québec, Presses de l’Université du Québec, 1992, p. 394-399 ; Jean-Jacques SIMARD, La Réduction : l’Autochtone inventé et les Amérindiens d’aujourd’hui, Québec, Septentrion, 2003, p. 193-196. 30. ...