Initiatives et adaptations algonquines au XIXe siècle

Initiatives et adaptations algonquines au XIXe siècle

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... Le chapitre clôt avec la signature du Traité no 9 au lac Abitibi. ...

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... Ainsi, les entrées quotidiennes dans les journaux de poste indiquent les allées et venues des Algonquins autour du poste de traite. ...

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... Peter BAKKER, « La traite des fourrures et les noms de tribus. Quelques ethnonymes amérindiens vraisemblablement d’origine basque dans le Nord-Est », Recherches amérindiennes au Québec, vol. 24, no 3, 1994, p. 20-21. 13.  ...

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... Lorsqu’un poste de traite tenu par des Français a été ouvert sur la rive ouest du lac Témiscamingue dans le dernier quart du xviie siècle, peut-être aussi tôt que 1679, ils ont participé au commerce des fourrures avec les Français18. ...

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... Le premier poste de traite français sur le lac Témiscamingue aurait d’ailleurs été détruit par une incursion guerrière iroquoise, vers 168923. ...

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... On sait très peu de choses des premiers postes de traite au lac Abitibi. ...

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... Ces cessions de territoire se faisaient sous la forme de traités par lesquels les Autochtones signataires s’engageaient à céder leurs terres contre certaines compensations. ...

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... À partir de 1871, on signait une série de traités appelés traités numérotés puisqu’ils portaient les numéros de 1 à 11. Ces traités couvraient une grande partie de l’Ontario et les provinces des Prairies. ...

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... C’est l’existence de ce fonds qui a conditionné certaines dépenses et certains traitements du gouvernement envers les Algonquins qui étaient attachés au secteur géographique où se trouvait la réserve. ...