... On parle probablement aussi d’intégrer dans l’armée les Iroquois catholiques des deux villages de la Montagne et de La Prairie, et les Algonquins et les Hurons des environs de Québec. ...

Iroquoisie, tome 3
... 1687 283 Chapitre 164 1687 Vers le huit juin, Denonville, qui est à Ville-Marie, a cette lettre entre les mains. Il remercie le roi et fait des préparatifs pour le départ en attendant les réponses de Lamberville. ...
... -1688), arrivé à Québec en 1685, il s’était emparé de forts anglais à la baie d’Hudson en 1686. Tome 3.1687 1687 Denonville se prépare chrétiennement à cette guerre. ...
... 1687 Le 25 juillet, une barque quitte la baie pour donner des nouvelles à Montréal et à Québec, pour transporter aussi les blessés. Le fort du bord de l’eau est brûlé. Le 26, la flottille se met en route pour Niagara. ...
... 1687 305 Chapitre 170 1687 Denonville a à peine quitté Niagara pour revenir, que les sachems des Cinq Nations sont rassemblés à Albany, dans l’hôtel de ville, en présence de Dongan. C’est la réponse à l’expédition de Denonville. ...
... Mais ces conseils sont d’un égoïsme féroce, car la ville d’Albany a besoin de fourrures. Dongan est d’ailleurs plus prodigue en conseils que de toute autre chose au monde. ...
... Le conseil ordonne donc aux habitants de la ville et du comté d’Albany de couper des palissades pendant l’hiver, de les transporter à Albany et à Shenectady, de sorte qu’au printemps, ils puissent entourer ces deux villages de palissades. ...
... Si Albany leur en fournit, les Français viendront à Albany, ils ont fait faire 1 500 paires de raquettes, et pilleront la ville. Antoine Lespinard semble ainsi croire possible cette rumeur qui fera long feu. ...
... Le conseil de ville d’Albany se comporte comme Dongan. ...
... Il faut fortifier Chambly, Ville-Marie, La Prairie, etc. ...