... Il y a huit jours, dit-il, les Hollandais se sont emparés de la ville de New York ; ils ont reconquis leur ancienne colonie. Ils y ont laissé 4 000 soldats. ...

Iroquoisie, tome 3
... Les Jésuites sont infiniment surpris de voir les Iroquois conduire huit enfants à Québec, c’est une chose qu’on leur demandait inutilement depuis une quinzaine d’années. Les lettres du père de Lamberville confirment les assertions du gouverneur. ...
... Le Canada, c’est-à-dire Montréal et Québec. Tome 3.1674 On leur a dit que des troupes se dirigeraient vers le sud et attaqueraient Albany. ...
... Or, les Jésuites sont pendant cette période les seuls représentants de la France en Iroquoisie ; il est assez plausible qu’on ait voulu les contrôler de Québec, les observer par l’intermédiaire de La Salle. ...
... Maintenant qu’ils se réinstallent, c’est le roi indien Philippe qui menace et harasse les colonies anglaises et qui alarme gravement à maintes reprises la ville d’Albany, de Shenectady et l’État de New York. ...
... conclu avec l’Iroquoisie un premier traité en 1624 ; Arent van Corlaer a conclu le second traité en 1643 ; la France a négocié son second accord en1654, accord suivi de l’établissement de Sainte-Marie de Gannentaa et de la concession par le gouverneur de Québec ...
... Tome 3.1675 Iroquoisie, 1666-1687 paix à Québec, sont plus conciliants ou ralentissent leurs attaques en NouvelleFrance parce que les Andastes les attaquent et qu’ils craignent un revers. ...
... Ces scènes ne manquent pas de pittoresque, les ambassadeurs défilent gravement de cette façon dans les villes françaises. Le père Millet est optimiste. ...
... D’autres Iroquois se réfugient à Lorette, près de Québec. Les deux communautés indiennes commencent leur vie propre, pittoresque, sobre et forte, en Nouvelle-France. ...
... Andros rappellera « de quelle façon il les a protégés au temps de la guerre et qu’il a donné à leurs vieillards, à leurs femmes et à leurs enfants l’admission dans leurs villes et dans leurs fortifications ». ...