Jean Mauvide. De chirurgien à seigneur de l’île d’Orléans au XVIIIe siècle

Jean Mauvide. De chirurgien à seigneur de l’île d’Orléans au XVIIIe siècle

Page 57

... Pépin dit Lachance ni François Gaulin n’étaient marins à leur arrivée dans la colonie ? ...

Page 65

... Enfin, la dernière des sœurs, Marie, épousera François Langlois de Cap-Saint-Ignace. Les deux fils Pierre et Laurent se marieront quant à eux avec Rose Marchand et Louise Riopel, toutes deux de SaintJean. ...

Page 68

... Jean Mauvide, lui, ne reçoit l’assistance que d’un seul témoin, Louis Turcot dit Chrétien, d’une famille influente de l’île (descendant du premier meunier de l’île, homme de confiance de Mgr de Laval), qui signe lui aussi. ...

Page 72

... Les Jacques Asseline, François Gaulin, Claude Guyon, Jacques Jahan et Antoine Pépin dit Lachance, tout particulièrement, inaugurèrent des relations de proximité de toutes natures, matri- ...

Page 75

... Enfin, le mari d’une autre sœur, François Langlois, était aussi présent au nom de sa femme. ...

Page 84

... Comme la paroisse de Saint-Jean connaît à cette date un développement comparable aux trois autres « jeunes » paroisses de l’île (Saint-Pierre, Saint-Laurent et Saint-François), la plus développée de toute étant Sainte-Famille, tout indique que plusieurs ...

Page 85

... La paroisse la plus à l’est, Saint-François (recoupant le fief d’Argentenay qui est indépendant de la seigneurie de l’île d’Orléans), compte quatre établissements résolument tournés vers la production de surplus agricoles, avec des superficies de 80 à ...

Page 86

... de la colonie, Mgr de Laval, ainsi que d’autres autorités religieuses, la paroisse de la Sainte-Famille regroupera le premier embryon de village de la NouvelleFrance, dès les années 1700, avec, côte à côte, l’église et le pres-bytère, le couvent des ...

Page 99

... , un officier du régiment de Carignan-Salières, le sieur Louis de Niort de La Norraye, s’établit à la Sainte-Famille dans les années 1670 et il devint rapidement, à titre de noble et d’officier, le commis, ou le représentant du seigneur-propriétaire François ...

Page 100

... Le maître de barque François Gaulin y était propriétaire d’une terre de cinq arpents en 1725, comprenant l’embouchure de la rivière, qui était un havre naturel favorable à ses activités maritimes, mais en 1744 la famille Asselin, alliée de longue date ...