Jean Pelletier. Entretiens et témoignages

Jean Pelletier. Entretiens et témoignages

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... Il comparait alors son sort au traitement réservé à Jean-Paul L’Allier, et plus encore à Gilles Lamontagne, à qui l’on donne encore du « Monsieur le Maire » sur un ton affectueux, dans les rues de la capitale nationale. ...

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... Je respecte son histoire, toute son histoire, et j’ai un réflexe de vif désappointement quand, pour satisfaire la mode du moment, on modifie certains traits visibles qui rappellent son parcours. ...

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... Jean Pelletier – Je suis né à Chicoutimi où mon père, qui était un Montréalais d’origine, avait passé dix-sept ans comme ingénieur. En 1937, mon père a déménagé à Québec. J’avais deux ans. Je n’ai pas de souvenir de mon temps à Chicoutimi. ...

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... Un trait de caractère qu’il tenait de son père, Burroughs Pelletier, avec qui il a eu des relations difficiles pendant sa jeunesse, mais dont il a adopté la devise. ...

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... L’usine de traitement d’eau, c’est Lamontagne, et l’usine de traitement des eaux usées, c’est de mon temps. C’est un tout : l’eau que l’on va boire et ensuite celle qu’on a usée. Tout ça était lié au retour des citoyens vers le fleuve. ...

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... Lamontagne avait fait le fondement des grandes infrastructures publiques, comme la rivière Saint-Charles et l’usine de traitement des eaux. ...

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... Le conseil d’administration aurait compté sept personnes, incluant le maire de Québec. Le trésorier de la fondation aurait été le trésorier de la Ville de Québec. ...

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... Lévesque m’a très bien traité sur le plan personnel, avec beaucoup de respect et d’estime dus à ma fonction et à ma personne. Deux fois par année, j’allais le voir pour les dossiers de la Ville. ...

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... Les Québécois ont choisi deux ordres de gouvernement, et on va les traiter sur le même plan. François Richard, qui avait été mon confrère au Collège des jésuites, était devenu brigadier général à Valcartier. ...