... Au Québec, les élèves de la Gaspésie semblent nous avoir assimilé à un interlocuteur institutionnel « étranger » avec toutes les connotations négatives, sinon suspectes, attachées à ce terme. ...

Jeunes à l'ère de la mondialisation (Les)
... Présentation 23 Il serait possible de disserter longuement sur le sens de la question « De quoi je me souviens à propos de mon pays, de ma région, de ma ville ? De quoi faut-il se souvenir ? ...
... .), La mémoire dans la culture, Québec, Presses de l’Université Laval, 1995, p. 95-109 ; pour l’anthropologie de la musique, voir D. Coplan, « Musiques », Revue internationale des sciences sociales, 154 (1997), p. 637-649. ...
... .), Jeunesses et politique, Québec/Paris, Presses de l’Université Laval/L’Harmattan, 1994, 2 vol. ...
... différent de celui du reste du Québec et offre la possibilité de rejoindre une population culturellement diversifiée. ...
... 32 LES JEUNES À L’ÈRE DE LA MONDIALISATION de la nature et de la ville, sans compter le fait de pouvoir reconnaître certains problèmes (tel celui des rapports entre francophones et anglophones au Québec). ...
... Et il ajoute : « People in Quebec have a great time and get along with different nationalities. » Malgré les différences, donc, les gens s’entendent bien et ont le sens de la fête. ...
... Le pays n’est plus seulement nommé et décrit (par exemple, « le Canada est un grand pays » ; « Montréal est une ville où il fait bon vivre » ; etc.), il devient aussi objet d’identification, soit sous la forme de l’affirmation en son nom d’une identité ...
... Pour elle, en particulier, penser à « my country as being Canada », c’est évoquer en premier lieu l’endroit « where I live », à savoir le Québec, Montréal et sa petite municipalité de l’ouest de l’île. ...
... Par ailleurs, pour une jeune immigrée, proclamer sa fierté canadienne signifie, entre autres, pouvoir se définir comme individu bilingue dans un pays — et en particulier une ville, Montréal — où malheureusement « French and English-speaking people are ...