... Dès le 10 novembre 1803, à peine une semaine après avoir été nommé arpenteur général, il devient propriétaire d’une maison en pierre de deux étages située à l’angle nord-ouest des rues Saint-Louis et du Parloir2. ...
Joseph Bouchette
... La famille de Joseph Bouchette est sans fortune. Au moment où il décide de s’établir sur la rue Saint-Louis, il ne peut compter que sur lui-même. ...
... En plus d’un traitement annuel de 300 livres sterling, il perçoit des frais sur les lettres patentes des terres de la Couronne. La concession de ces terres est alors réglementée par le 6. BAnQ-Q : Minutier de M. Berthelot. ...
... La grande majorité de ces lettres patentes furent toutefois émises avant l’entrée en fonction de Bouchette. À partir du 27 novembre 1803, le nombre d’acres en question s’élève à 847 200 ¾. ...
... Il remettra à Joseph une lettre de recommandation visant à lui obtenir une entrevue avec sir George Shee, le sous-secrétaire d’État aux Colonies21. En Angleterre, Joseph manquait d’appuis. ...
... 4 • Premières déconvenues 73 il se dit soutien d’une jeune famille et de deux de ses sœurs. ...
... Le 24 août, c’est à bord du voilier qu’il écrit une dernière lettre à Cooke, se demandant s’il pourra se relever des frais considérables occasionnés par son voyage, mais ne désespérant pas de sa réussite. ...
... La date de sa lettre sur ce navire s’accorde à une telle traversée. ...
... La loi sur la milice de 1803 déclare miliciens tous les hommes résidant dans la province et âgés de 18 à 60 ans, à quelques exceptions près. ...
... Les statuts provinciaux du Bas-Canada, 43 George III, cap. 1 (1803). 3. ...