... Les hommes, impliqués dans ces irrégularités, étaient les commandants, les majors, les gardes-magasins, les fournisseurs, les préposés aux transports, et peut-être aussi, le commissaire-ordonnateur de Montréal, le contrôleur de la marine à Québec, voire ...

Joseph-Michel Cadet
... Leurs subalternes, au nombre de quelques dizaines de milliers, chargés des collectes d’impôts, à la campagne et à la ville, souvent avec l’aide de l’armée, ne jouissaient pas non plus d’une grande popularité. ...
... Au lendemain de la chute de Québec, en octobre 1759, il avouait être « toujours persuadé qu’il y [avait des abus] sur les rations et sur les autres dépenses des forts » et il souhaitait « parvenir à déraciner [ces] abus56 ». ...
... En attendant d’aller à Montréal, il devait travailler au Bureau des fonds à Québec, et enquêter sur les dépenses publiques. ...
... Le ministre de la Marine fit d’abord connaître le décret du 15 octobre aux chambres de commerce de sept villes portuaires du Royaume66. ...
... Comme leur circulaire renfermait quelques imprécisions, sûrement volontaires, le chef de l’armée anglaise, Murray, installé à Québec depuis septembre 1759, s’empressa de faire les rectifications « aux Canadiens, sujets de Sa Majesté britannique70 ». ...
... Le régime des malades à l’Hôtel-Dieu de Québec, Québec, Les Presses de l’Université Laval, 1983, 21-44, 86-92. ...
... ., VII : Journal du marquis de Montcalm, Québec, 1895 : 121, 308, 313-314, 355, 478-479. 13. ...
... Batiscan est situé à 18 lieues en amont de Québec. 23. ...
... Le coût d’une ration offerte aux malades de l’Hôtel-Dieu de Québec a atteint des chiffres, inégalés jusqu’alors. Voir : François Rousseau, op. cit., 94. L’auteur fournit des chiffres pour la période : 1664-1763. Il s’agit ici d’un autre exemple. 43. ...