Journal d'un étudiant en médecine à Paris

Journal d'un étudiant en médecine à Paris

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... Une femme entre à Lourcine pour être traitée d’un bubon, que l’on attribue à un effort parce que les antécédents de cette femme et l’absence de tout phénomène syphilitique aux parties génitales, rendent improbable la présence du principe syphilitique. ...

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... R. prescrit un traitement antiphlogistique et émollient, une saignée, des onctions mercurielles et cataplasmes émollients. ...

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... Après avoir suivi un traitement médical assez bizarre (M. Robert) que lui prescrivit Dupuytren, M. Breschet fut consulté. Il fit faire un traitement antisyphilitique et obtint une entière guérison. ...

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... Les vésicatoires volants, dans le traitement des ophtalmies, de même que le séton, agissent comme excitants et ne doivent être employés qu’à la dernière période, leur action révulsive est très contestable et leur application est intempestive quand l’infection ...

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... Mais deux questions très difficiles et de la plus haute importance se présentent dans le traitement de cette affection. Faut-il amputer? Quand doit-on amputer? ...

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... On la traite par deux attelles latérales. Il est tellement impossible de faire tenir ce malade dans l’immobilité qu’on est obligé de renoncer à l’avantage très grand de la position demi-fléchie, la jambe appuyée par sa face externe sur le coussin. ...

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... R. l’examina, constata un trouble dans le champ de la pupille, mais comme la cécité était complète, il ne put admettre une cause aussi légère pour expliquer l’absence de la vision et le malade fut traité pour une amblyopie. ...

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... Par un coup porté sur l’œil: dans ces cas, l’opacité survient très rapidement et peut se dissiper par un traitement antiphlogistique très énergique. ...

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... Dans le traitement consécutif, on doit se diriger par le principe suivant: prévenir l’infection car en peu d’heures, elle peut causer de grands désordres. Pour peu que se manifestent quelques symptômes d’irritation locale ou générale, saigner, etc. ...

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... Traitement. Les antiphlogistiques n’ont aucune portée dans ces circonstances, comme on peut le constater encore chez ce malade; l’on a recours, en pareilles circonstances, aux révulsifs. C’est le traitement de la tumeur blanche commençante. ...