Journal d'un Fils de la Liberté. 1838-1855 [NE]

Journal d'un Fils de la Liberté. 1838-1855 [NE]

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... C’est la seule politesse que nous pouvons leur offrir, parce que, arrivés ce matin de Québec, ils veulent absolument repartir demain matin pour Toronto. ...

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... Rentrée en ville à 6 h 30. Lettre de papa, du 8. Nous l’attendions d’un jour à l’autre et sommes chagrins et désappointés de ce qu’il ne fixe point d’époque pour son départ. Samedi, 13 juillet. J’écris à papa, lui conseillant de revenir aussitôt. ...

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... Ils nous promettent, pour s’excuser, de descendre chez nous à leur retour de Québec où ils iront demain soir. ...

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... M. et Mme Heartt sont de retour de Québec et à Cherry Hill pour déjeuner. Dans l’après-midi, je les mène voir les couvents. Dimanche, 28 juillet. Je vais avec M. et Mme Heartt à la grand-messe à Notre-Dame, dans le banc de Mme Henry Judah. ...

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... Tantes Dessaulles et Benjamin Papineau et cousine Leman sont en ville, en route pour la PetiteNation, et je n’ai encore pu les rencontrer, quoiqu’elles fussent comme moi et sans que je le susse, au théâtre, mercredi soir, pour voir monsieur le magicien ...

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... 826 journal d’un fils de la liberté dans le centre même de la ville, tout le quartier adjoignant la rue Craig, entre les rues Saint-Urbain et Saint-Gabriel. Notre bon ami, M. Fabre, maire de Montréal, y a échappé comme par miracle. ...

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... Westcott, Marie et moi rentrons à la ville d’un joli tour à la montagne de Rouville. M. ...

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... Parti le 1er septembre de Paris, il voyage à la course, part ce soir pour Québec, en revient à la fin de la semaine, repart pour New York, puis la Nouvelle-Orléans ; puis Paris avant deux mois le reverra. ...

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... Soirée chez Mme Joseph la mère, Près-de-Ville ; petit bal costumé (rejeton du grand bal costumé de mardi dernier). J’y vais avec Marie. Vendredi, 28 février. Soirée dansante, très agréable, chez Mme Desbarats, Rose-Pré. ...

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... Notre bonne ville de Montréal, qui tient à ne pas perdre sa célébrité comme ville désordonnée et anarchique, a vu comme de coutume les émeutiers échanger coups de bâtons et de fusil. Mardi gras, 4 mars. ...