Journal d'un Fils de la Liberté. 1838-1855 [NE]

... Il en tue sept ; moi, cinq. Nous rentrons au logis avec le dîner de la famille. J’écris une longue lettre à maman. Mon oncle et moi passons partie de la journée à parler politique et affaires seigneuriales. ...

... On nous dit que nous avons encore sept ...

... À 10 h 30, je vais au greffe des tutelles et devant le juge, comme un des sept électeurs de tuteur ...

... Ce poème des Harmonies poétiques et religieuses (1830), intitulé « La voix humaine », traite de l’accord du son de la voix de la personne aimée avec l’immensité des cieux : « Oui, je le crois quand je t’écoute, l’harmonie est l’âme des cieux !… » 3. ...

... Ouvrage étonnant par l’originalité du style et de la pensée, plein d’un sarcasme dévorant et d’une touchante charité, se succédant alternativement, où le philosophe traite avec son génie extraordinaire et unique les plus grandes vérités sociales, politiques ...

... Il nous paraît victorieux, mais en même temps traite le sujet d’une manière peu populaire, pas à la portée des masses. Il lui faut des commentateurs. J’écris à maman et inclus les lettres de France à son adresse. Enverrai par la malle demain. ...

... Le cultivateur ayant, cette année, semé beaucoup plus de blé qu’il n’avait fait depuis sept ou huit ans, et la mouche hessoise l’ayant peu mangé, nous avons une beaucoup meilleure récolte qu’aucune de celles des dix années dernières. ...

... Nous sommes joyeux de quitter enfin la vie de pension que nous menons depuis sept ans, pour celle de famille et du chez-moi. Soir, je vais à 8 h à Monkland, dîner chez le gouverneur, et n’en reviens qu’à minuit. ...

... Nos compatriotes, après avoir touché la somme de 20 $ chacun, en vertu de la traite que leur avait donnée M. Roebuck à Londres, quittèrent New York mercredi matin pour le Canada. ...

... La Revue canadienne d’aujourd’hui publie la continuation de mon « Analyse du Traité d’économie politique » de Jean-Baptiste Say. Dimanche, 13 juillet. Lactance a aujourd’hui écrit à papa, par la malle qui part à 7 p.m. ...