Journal de Majorique Marchand, curé de Drummondville, 1865-1889 (Le)

Journal de Majorique Marchand, curé de Drummondville, 1865-1889 (Le)

Page 296

... ’ai pas jugé à propos d’accorder la même faveur à l’externat, parce que les parents des élèves qui le fréquentent, considérant qu’ils ont plutôt congé en se débarrassant de leurs enfants, auraient murmuré de mes largesses, et m’auraient probablement traités ...

Page 297

... Le sujet d’ailleurs était facile à traiter. ...

Page 301

... Comme à l’ordinaire j’ai fait le catéchisme à 11 1/2 heures; puis après Vêpres j’ai reçu cinq nouveaux novices dans le Tiers-ordre après leur avoir adressé une exhortation; et enfin, j’ai encore, à sept heures P.M., fait mon petit sermon du mois de Marie ...

Page 305

... Pourtant, je la crois passablement remplie, puisque je n’ai presque pas eu le temps de souffler, à cause des nombreuses affaires de routine que j’y ai traitées. ...

Page 310

... 22 petites filles et 19 petits garçons sont venus à la file, pendant la messe de sept heures, recevoir de mes mains le Dieu qui réjouit la jeunesse, Ad Deum qui lactificat juventutem meam [Au Dieu qui réjouit ma jeunesse]. ...

Page 311

... 312 LE JOURNAL DE MAJORIQUE MARCHAND Ce soir à sept heures l’office du mois de Marie a encore été plus solemnelle par la consécration à Marie des enfants de la première communion. [...] ...

Page 312

... Vers cinq heures P.M. j’étais à traiter une affaire avec un paroissien lorsque Philie vient toute effarée me dire que maman est sans parole, les yeux fixes, et les membres raides. ...

Page 326

... La Vierge se montre d’abord à sept enfants, bientôt entourés de nombreux paroissiens, de religieuses et du curé Michel Guérin. L’assistance prie, récite le Magnificat. Une inscription apparaît alors sous la vision: «Mais priez mes enfants. ...