Journaux de Pierre-Louis de Lorimier

Journaux de Pierre-Louis de Lorimier

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... Il fut le dernier des Lorimier à pratiquer la traite des fourrures. ­ 1832 • Louis Lorimier, Jr., was killed by Indians. ...

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... Ces troupes assuraient la garnison en Nouvelle-France et ne com­ bat­ tirent qu’occasionnellement avant que n’éclate la guerre de Sept Ans. ...

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... La traite des fourrures constitua donc le complément logique des affec­ tations du capitaine de Lorimier à titre de commandant et d’officier de liaison d’unités de milice, fonctions qui entraî­ naient un étroit voisinage avec les Amé­ r indiens. ...

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... La guerre de Sept Ans qui, de 1756 à 1763, opposa l’Angleterre et la France est la dernière des quatre que se livrèrent les deux puissances au 18e siècle. ...

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... 26 Pierre-Louis de Lorimier plus facile aux objets de traite de provenance anglaise et par la paix relative de la période d’après-guerre. ...

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... La car­ gaison renfermait également du ­mobilier pour les habitants du futur poste de même que des chevaux de trait, du bétail et des semences pour les champs et les jardins. ...

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... Une fois que fut déclenchée la guerre entre les Anglais et les troupes coloniales américaines, il parut évident à la fois aux autochtones et aux traiteurs que, si les Américains l’emportaient, il ne resterait plus que les montagnes et les Indiens eux-mêmes ...

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... En raison des intérêts communs partagés avec les autochtones, Lorimier - que les historiens de l’Ohio appellent Peter - et les autres traiteurs pactisèrent avec les deux groupes en vue d’évincer les Américains. ...

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... On prévoyait égale­ ment s’attaquer à Louis Lorimier, ce traiteur qui approvisionnait les Chaou­ a nons. ...

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... De son côté, la traite des fourrures évoluait difficilement car les lois américaines refusaient ou étaient incapables de protéger les intérêts de ceux qui la pratiquaient21. ...