... Et à chaque remise de prix ou de décorations, on ne manquera pas de souligner à grands traits cet épisode de son existence, soit le don en 1935-1936 d’une école d’arts et métiers accueillant des jeunes du « primaire supérieur ». ...

Jules-A. Brillant
... Son réseau compte alors sept magasins : Rimouski, Mont-Joli, Matane, Amqui, Trois-Pistoles, Saint-Jean-de-Dieu et Cabano. ...
... En 1938, par exemple, un auditeur de Sept-Îles souligne à Brillant à quel point la radio est d’un apport précieux pour son coin de pays. ...
... Les trois bateaux de type « cargo-passagers » de l’entreprise sillonnent donc le fleuve de Bersimis à Sept-Îles à partir de Rimouski et Matane, et ce, de mai à décembre inclusivement. ...
... Un partage des tâches semble intervenir dans le traitement des dossiers. La correspondance de Brillant relative aux postes ne touche que des dossiers bas-laurentiens. ...
... Embarquement à Halifax, débarquement à Liverpool sept jours plus tard. Dès leur arrivée, ils sont rapidement versés dans d’autres unités. Jeannot a-t-il été de ce voyage ? Nous l’ignorons. ...
... Il estime cependant qu’il est peu pratique de se réunir avant que l’on dispose de « bureaux organisés » tant à Montréal qu’à Québec, ainsi que du personnel requis pour traiter les dossiers reçus et procéder aux enquêtes prévues. ...
... Brillant sera ainsi en contact régulier avec Arthur Schmon, président de la QNS, qui a dressé pour lui une liste des sites nordcôtiers, de Forestville à Sept-Îles, où il importe le plus d’agir75. ...
... Les sept magasins d’accessoires électriques de la compagnie font vite état de profits records. Dans un rapport de février 1946, Henri Labrie compare la popularité des principaux articles 4. Entrevue avec monsieur « Z », op. cit. 5. ...
... En ratifiant cette entente, il met la main sur un important « surplus de guerre » entreposé à Sept-Îles (radios, outils, moteurs, batteries, tracteurs, etc.) et obtient une subvention de 5 000 $ pour les améliorations à apporter28. ...