... La fondation de Québec-Téléphone Après le développement de la Compagnie de pouvoir du Bas-SaintLaurent, Jules-A. Brillant se jette corps et âme dans la téléphonie au cours de la décennie 1920. Petit retour en arrière. ...
Jules-A. Brillant
... Un central automatique et un réseau sous-terrain sont construits dans la ville de Québec pour concurrencer directement la compagnie Bell. ...
... Brillant change la raison sociale de l’entreprise qui devient la Compagnie de téléphone et de valeurs d’utilités du Québec, nom remplacé en novembre 1927 par celui de Corporation de téléphone et de pouvoir de Québec. ...
... Trahison Cependant, il reste une enclave entre Rimouski et Québec, soit le territoire de la Compagnie de téléphone de Kamouraska. ...
... La Compagnie de téléphone et de pouvoir de Québec, qui prendra le nom de Québec-Téléphone le 10 février 1955, est rentable dès les premières années. ...
... Il a même accru ses positions dans la Corporation de téléphone et de pouvoir de Québec dont il détient maintenant 21 735 actions. ...
... Tant dans les villages que dans les petites villes du territoire, le ralentissement des activités se généralise et le chômage devient endémique. Au printemps 1932, Jules-A. ...
... Un peu partout au Québec, les compagnies d’électricité sont critiquées pour leurs pratiques monopolistes, leurs taux jugés excessifs ainsi que leur réticence à étendre leurs lignes de distribution au-delà des agglomérations urbaines. ...
... It looks bad when any publication is made on our company, to see our highest rate of .15 ¢ when there is no such rate in the province of Quebec [Il est possible que je sois obligé de diminuer le tarif de 15 ¢ à 10 ¢ dans quelques petites villes comme ...
... À la compagnie de téléphone, il peut compter au siège social de Québec sur Ernest Beaubien, un vétéran de la Nationale, vice-président et chef des opérations. ...