Lacorne Saint-Luc

Lacorne Saint-Luc

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... Il a reçu plusieurs blessures dont une lui a fait perdre un œil et une autre l’a estropié de Jean-Louis de Lacorne, en date du 15  octobre 1705, qui résume la calomnie portée contre lui par le fondateur de la ville de Détroit. ...

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... Les noms de Mme  de Lacorne, de sa femme de chambre et de son frère figurent sur la liste des passagers du navire Le Rubis qui a quitté le port de Québec pour passer en France, le 15 octobre 1732. ...

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... Malgré son apparente pauvreté, la mère de Lacorne Saint-Luc offrit généreusement sa maison de la rue Saint-Paul à MarieMarguerite D’Youville et à ses religieuses, après l’incendie de l’Hôpital général de Ville-Marie de 1745. ...

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... Lettre de 1741 transcrite dans l’album-souvenir, Contrecœur 325, publiée par la ville de Contrecœur en 1993, p. 552-553. ...

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... Ces troupes fournissaient les garnisons des villes fortifiées comme Québec et Montréal, en plus d’être affectées dans les avant-postes pour surveiller les frontières et les voies de ravitaillement de la colonie et protéger les forts et les postes de traite ...

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... III, Québec, Imprimerie A. Côté et Cie, 1884, p. 272. ...

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... Le lieutenant Joseph Chew, un ami de sir William Johnson, fut amené à Québec et libéré à la fin de la guerre. ...

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... ., Montréal, ville fortifiée au xviiie siècle, Montréal, Centre canadien d’architecture, 1992, p. 49. 37. Archives du Séminaire de Québec, fonds Viger-Verreau, document P32/009/003. ...

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... Ce document est aussi aux Archives nationales du Québec, no de référence : E1, S1, P3770. ...

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... «  La Corne, Luc de, dit Chaptes de La Corne ou La Corne Saint-Luc  », DBC, IV, Québec, Presses de l’Université Laval, 1980, p. 460. Recherches de Pierre Tousignant et Madeleine Dionne-Tousignant. 41. ...