Lacorne Saint-Luc

Lacorne Saint-Luc

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... Là aussi, le raffinement « à la française » était de mise, même chez les officiers militaires installés dans les postes les plus éloignés de Montréal ou de Québec : ...

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... Voir aussi Deux siècles d’esclavage au Québec, Montréal, Hurtubise, 2004. ...

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...  l acor ne sa i n t-luc Jésuites, le Séminaire de Québec et le gouverneur de Beauharnois en détenaient un plus grand nombre que lui. ...

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... Luc de Chapt de La Corne Saint-Luc », dans Maple Leaves, vol. 6, Québec, Augustin Côté, 1873, p. 115-125. ...

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... III, de 1741 à 1770, Québec, Presses de l’Université Laval, 1974, p. XIX. 8. Il s’agit de Geneviève-Élisabeth-Louise, l’épouse de Charles-Louis Tarieu de Lanaudière, neveu de Philippe Aubert de Gaspé. ...

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...  l acor ne sa i n t-luc Cela fut corroboré par l’officier britannique John Enys : Il [Lacorne Saint-Luc] avait une grande influence sur les Indiens des régions éloignées et lorsqu’ils venaient en ville, on pouvait fréquemment le voir conduisant sa ...

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... (Rapport du chevalier de La Pause cité dans le Rapport de l’archiviste de la province de Québec pour 1931-1932, p. 27-28.) ...

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... Casgrain, Guerre du Canada, 1756-1760, Montcalm et Lévis, Québec, L.-J. Demers et frère, 1891, p. 114. ...

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... Casgrain, Lettres du marquis de Montcalm au chevalier de Lévis, tome 6, Québec, L.-J. Demers et frère, 1894, p. 35. 14. ...

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... Ce frère abbé avait été délégué en France par ses collègues du chapitre de Québec, à l’automne de 1750, pour défendre leurs intérêts dans un procès intenté contre le Séminaire au sujet de la cure de Québec16. ...