Les Bateaux-phares du Saint-Laurent

Les Bateaux-phares du Saint-Laurent

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... La Maison de la Trinité de Québec dut trouver une façon de marquer la limite navigable de ce chenal pour satisfaire les marchands de Montréal et les bateliers. En 1816, un premier feu flottant a été ancré au milieu du lac. ...

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... L’histoire des bateaux-phares entre Québec et le golfe du Saint-Laurent venait de naître. ...

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... Les affluents le font grimper à 353 147 pieds cubes par seconde (10 000  m3/sec) devant la ville de Québec. Enfin, son débit culmine à 459 091 pieds cubes par seconde (13 000 m3/sec) devant Tadoussac, près de l’embouchure de la rivière Saguenay4. ...

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... Cette onde remonte l’estuaire du fleuve et met un peu plus de six heures à parcourir la distance entre Pointe-des-Monts et Québec. ...

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... De Montréal à Québec, le fleuve circule dans un couloir assez étroit, à l’exception du secteur du lac Saint-Pierre en amont de Trois-Rivières. ...

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... Contrairement aux autres villes importantes de la côte Est, Québec et Montréal avaient le désavantage d’être isolées du reste du monde de novembre à avril13. ...

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... Un dernier bateau quitta Québec le 5 décembre (1806), tandis qu’il n’y avait que très peu de glace dans cette partie du fleuve. ...

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... Fairgrieve du cargo britannique Graiglas recevait du capitaine et maître du Port de Québec, Eugène Fortin, la célèbre canne à pommeau d’or. ...

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... Ce n’est qu’en 1928 que la compagnie Clarke Steamship de Québec inaugura un service d’hiver. Mais le véritable 20.  Revue maritime L’Escale, vol. 5, no 4, janvier-février 1985, p. 12. ...

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... Lauritzen Lines, au port de Québec en 1960. Le caboteur D’Vora. de Québec21. Ce voyage remarquable inaugure officiellement la navigation d’hiver océanique entre Québec et l’Europe. ...