Les Bateaux-phares du Saint-Laurent

Les Bateaux-phares du Saint-Laurent

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... Le recrutement ne se faisait pas dans les bars et les tavernes, une pratique courante dans les ports des grandes villes, mais plutôt dans le village ou du moins dans la région où le capitaine résidait. ...

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... Après le mouillage du seul phare flottant en aval de Québec, le ministère de la Marine et des Pêcheries en mit rapidement quatre autres en service. ...

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... À la fin de la saison de navigation, on rapatriait et amarrait tous les amers flottants à Québec ou dans un autre port de refuge, dans une anse protégée, à moins qu’ils ne prennent place dans les cales sèches des chantiers maritimes. ...

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... Le métier qui a débuté en 1830 en aval de Québec a évolué au fil des décennies et des innovations Le tripode et la lanterne du Lightship No 4. 101 ...

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... Archives du Port de Québec, fonds Trinity House de Québec, « Rules to be strictly observed by the master of the light vessel », 1830. ...

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... Archives du Port de Québec, fonds Trinity House de Québec, « Rules to be strictly observed by the master of the light vessel », 1830. ...

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... Lorsque la météo le permettait, un navire du ministère quittait Québec tous les mois et s’amarrait bord à bord sur les bateaux-feux. On transférait alors le précieux combustible requis pour alimenter la chaudière et produire la vapeur. ...

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... chapitre 5 • Vivre à bord de la lightship 113 Québec au début du xxe siècle. Au centre droit, au pied de la terrasse Dufferin et derrière le navire gouvernemental Druid, les quais à charbon du ministère de la Marine et des Pêcheries. ...

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... C’est le chef qui faisait demander ça, il demandait ça à Québec. Ils ont dit : Qu’est-ce que vous faites avec ça ? ...

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... Avant le départ printanier, il va de soi qu’un approvisionnement en nourriture était fait chez les marchands de Québec. ...