... Des dissensions internes ont eu raison du Conseil algonquin de l’ouest du Québec (ibid.). ...

Lutte se poursuivit en cachette (La)
... Ils revinrent complètement fanatisés et entreprirent avec un zèle excessif une campagne de propagande qui visait à embrigader d’autres villages indiens au Québec. Devant la situation, le ministère des Affaires indiennes dut sévir. ...
... Les Outaouais (ou Ottawas, ou encore Odawas) viennent de la région des Grands Lacs et sont venus occuper le territoire de l’Outaouais du Québec à un moment d’abandon après les guerres iroquoises. ...
... D’après les informations amassées auprès d’une autre communauté algonquine du Québec, cette pratique était encore en usage dans les années 2000. Toutefois, 50. ...
... ce qui apparaît capital, c’est qu’en parlant trois langues le chef Cayer est capable d’interagir adéquatement avec différents interlocuteurs qui ont affaire aux gens de la réserve : représentants du gouvernement (par exemple l’agent indien) ou de la ville ...
... D’autres chefs algonquins de communautés du Québec l’ont également porté. Plusieurs raisons peuvent expliquer pourquoi les chefs de Kitigan Zibi ne portent plus la coiffe : choix 83. ...
... Au Québec, les Oblats ont été responsables de quatre écoles résidentielles8 qui ont fonctionné de la moitié des années 1930 jusqu’au milieu des années 1980 (Bousquet, 2006 ; Bousquet et Morissette, 2008 : 22 ; Gaudreau et Miny, 2003 : 11). ...
... Dans les années 1950, le Québec a imposé la scolarisation obligatoire à tous les enfants amérindiens (Bousquet, 2001 : 159)11.Quelles visées avaient les pensionnats indiens ? ...
... Ces matières étaient enseignées dans les collèges classiques et les couvents du Québec à la même époque12. ...
... De 1964 à 1968, cet agent indien était également échevin à la ville de Maniwaki16. Être engagé à la fois à la mairie de Maniwaki et dans la gestion de la réserve de Kitigan Zibi n’apparaît pas être contradictoire. ...