Luxure et ivrognerie

Luxure et ivrognerie

Page 37

... Pour les gourmands qui ont les moyens de leurs appétits, les meilleures adresses pour s’offrir de la bonne cuisine française sont à la haute-ville et sur la rue Saint-Pierre, près de la place Royale. ...

Page 39

... Les restaurants anglais les plus populaires sont situés près de la place Royale et des établissements bancaires de la basse-ville, sur la rue Saint-Pierre. ...

Page 40

... Pattenaude & Cie, à Québec, Le Canadien, 3 juin 1870. En 1870, pour arroser dignement ses repas, l’élite de Québec peut compter sur les nombreux arrivages de boissons luxueuses. ...

Page 41

... Basse-ville  : marché Champlain et, au centre, le London Coffee House, vers 1870. Mais, qu’on aime la cuisine française ou anglaise, la coqueluche des restaurants de Québec, en 1870, ce sont incontestablement les huîtres. ...

Page 42

... L’élite de la ville peut profiter de nombreux spectacles qui se terminent parfois tard durant la nuit. ...

Page 44

... En 1870, grâce au Music Hall, le public de Québec peut cependant profiter d’une salle adaptée spécialement aux activités artistiques. ...

Page 45

... Si les Dessane sont émerveillés par la beauté de la ville, le milieu culturel de Québec s’entiche tout autant du couple. En effet, les Dessane entament une carrière musicale active. ...

Page 47

... Même chose pour la musique : les soirées musicales de la ville sont en grande partie assurées par des musiciens professionnels issus des corps de musique des régiments britanniques en poste à Québec. ...

Page 48

... Lors de la visite à Québec de la troupe française de New York en 1859, les autorités ecclésiastiques s’étaient ainsi opposées à la présentation de la pièce au programme. ...

Page 50

... Grand feu à Québec, 24 mai 1870. 50 ...