... À l’âge de vingt et un ans, Jean-Baptiste fit ce que de nombreux jeunes Québécois avaient fait avant lui : il s’engagea dans la Compagnie du Nord-Ouest, entreprise de fourrures basée à Montréal qui représentait la force vitale de l’économie du Québec ...

Marie-Anne
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... des occasions d’affaires dans les villes en croissance. ...
... La saleté de la ville, la boue, les odeurs fétides, venant en particulier du marché de viande en plein air, les bruits assourdissants, tout était déroutant. On peut l’imaginer se faisant la réflexion : « Je pourrais m’habituer à cet endroit. ...
... Beaucoup empruntaient le chemin du Roy, qui était la route la plus importante entre Québec et Montréal. ...
... En 1608, Samuel de Champlain fonda un fortentrepôt à Québec (sur le site actuel de la ville de Québec), réservé uniquement au commerce des fourrures. ...
... Après la Conquête, les marchands anglo-saxons s’installèrent à Québec pour approvisionner les troupes et les fonctionnaires. ...
... Quand Jean-Baptiste retourna à Québec vers la fin de l’année 1806, il se rendit compte tout d’un coup qu’il avait en horreur les soi-disant raffinements de la civilisation. ...
... C’était l’église de Sainte-Anne, le dernier bastion de la religion catholique pour les voyageurs jusqu’à leur retour au Québec. ...
... Les rires tapageurs et les chansons obscènes auraient fait rougir un jeune employé, aussi que dire d’une jeune femme bien élevée venant de Québec : Le cul de ma femme est aussi gros qu’un cheval, Ses seins me rappellent la saucisse, Sa langue est aussi ...
... En 1807, le confluent des deux rivières était dominé par une étrange construction, Fort Pembina, appartenant à la Compagnie du Nord-Ouest et sis à l’endroit où se situe maintenant la ville de Pembina, dans le Dakota du Nord. ...