Marie-Anne

Marie-Anne

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... Sept ans après la construction des postes, les forêts alentours avaient été entièrement déboisées. L’énorme quantité de bois de chauffage nécessaire – huit cents cordes par an – devait être rapportée sur des distances de plus en plus longues8. ...

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... C’est Alexander Henry qui décrit le mieux la vie dans un poste de traite au début du xixe siècle. ...

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... Dans les faits, la vie dans n’importe quel poste de traite était primitive, restreinte et sans confort. À Fort Vermillion, quatre familles sur cinq – parfois plus de vingt personnes –, ainsi qu’un grand ...

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... Les femmes étaient occupées à traiter les peaux de bisons pour en faire des sacs à pemmican et des cordes. ...

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... En janvier 1807, sept mois après l’arrivée des Lagimodière à Fort Edmonton, James Bird écrit une note à J. P. ...

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... Le 21 avril, une immense bande d’Indiens de la rivière Muddy (des Piégânes) se frayèrent un chemin vers leur site de campement près des postes de traite. ...

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... Quand les Compagnies de la Baie d’Hudson et du Nord-Ouest construisirent des forts le long de la Saskatchewan, invitant les Pieds-Noirs à traiter directement avec eux, l’interdépendance entre les deux groupes se brisa. ...

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... En octobre 1793, des bandes de Siksikas et de Gros-Ventres attaquèrent deux postes de traite mitoyens sur la rivière Saskatchewan ...

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... Ils mirent les corps en pièces, placèrent les scalps au bout de poteaux, puis paradèrent ainsi devant les postes de traite. ...

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... 154 m a r i e-a n n e de toute évidence favorisés dans les postes de traite car ils apportaient ce que les négociants recherchaient le plus – des peaux de castors. ...