Marie-Anne

Marie-Anne

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... Aucune supplication ne put ébranler la détermination du capitaine, et les pauvres gens passèrent un hiver épouvantable dans de petites cabanes, dans un lieu appelé Sloop Cove, à vingt-cinq kilomètres du poste de traite. ...

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... La seconde déclaration, faite le 21 juillet et affichée encore une fois sur les portes des divers postes de traite, interdisait la poursuite des bisons à cheval. ...

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... Sept hommes de la Compagnie du Nord-Ouest, armés jusqu’aux dents, entourèrent la petite ferme du chef Spencer. ...

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... Cuthbert avait été envoyé à Montréal pour y faire son éducation et, en 1810, à dix-sept ans, la Compagnie du Nord-Ouest l’embaucha comme apprenti. ...

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... L’habituel fatras d’entrepôts, de dortoirs et de magasins de traite parut sortir du sol en une nuit, tout comme les maisons, et non seulement celle de Robertson – qui agissait maintenant comme commandant de la Compagnie de la ...

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... Et si jamais Jean-Baptiste perdait la vie au cours de cette expédition, Marie-Anne recevrait une annuité de sept livres pendant dix ans10. ...

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... Elle fut toujours traitée avec dignité et gentillesse tout au long de son séjour chez les Sauteux, sur ordre du chef Peguis, qui était un fervent ami de Jean-Baptiste. Peguis était né en 1774 près de Sault-Sainte-Marie. ...

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... Durant le repas, ce soir-là, elle avait servi tout le monde – les invités, les trois sœurs et les sept enfants – avant de prendre la première bouchée. ...

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... armée à la rivière Rouge. « Il ne serait sûrement pas agréable au gouvernement britannique de voir ces voyous sans foi ni loi répandre la guerre parmi ses sujets6. » Mais Drummond avait toujours pensé que c’était une guerre entre deux compagnies de traite ...

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... Pendant l’été, les sept Lagimodière y déménagèrent et Marie-Anne marqua l’événement en plantant un champ de maïs. ...