Médecine en Nouvelle-France (La)

Médecine en Nouvelle-France (La)

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... Cependant, les traitements de blessures, de fractures et d’entorses sont nombreux. Deux cas de césariennes pratiquées après la mort de la mère ont été rapportés. ...

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... Il s’agit plus d’asiles que d’hôpitaux pour traiter les patients malades. Le système hospitalier instauré en Nouvelle-France au xviie siècle est copié sur le modèle français. Dès 1639, l’Hôtel-Dieu de Québec est fondé. ...

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... Je donnerai tous mes soins pour que nos malades y soient traités et aient tous les soulagements possibles. » Le 11 juin 1756, il écrit à M. ...

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... En ce qui a trait à ce que l’on pourrait qualifier aujourd’hui de psychothérapie, le chaman croyait que le corps était habité par un démon qui ne demandait qu’à en sortir. Informé ...

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... Au point de vue chirurgical, pour traiter les septicémies consécutives aux blessures infectées, on utilisait la saignée. ...

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... Après plusieurs heures de ce traitement, le malade était plongé dans l’eau glacée du ruisseau. On se servait également de ces saunas pour purifier les candidats à l’école de la « chamanerie ». ...

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... Timothée Souart, Gabriel Tailhandier dit Labeaume, Marien Vigneau, Jean-Raymond Lieutenant général de la juridiction de Montréal Prêtre et curé Négociant à l’île Dupas Négociant à Québec Notaire à Pointe-Claire Commerçant à Montréal Commerçant à Montréal (traite ...

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... Parmi les 121 chirurgiens nés en France et qui sont venus pratiquer dans le gouvernement de Montréal, 82 ont épousé des jeunes filles nées dans la colonie, soit près de sept sur dix (70 %). ...

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... Il fallait davantage traiter les lésions traumatiques accidentelles et les blessures de guerre. ...

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... À l’annexe IV, on retrouve la liste chronologique des 24 chirurgiens qui ont exercé leur art à l’Hôtel-Dieu de Montréal depuis sa fondation jusqu’au traité de Paris qui met fin au Régime français en 1763. ...