Médecine en Nouvelle-France (La)

Médecine en Nouvelle-France (La)

Page 6

... Photo de la couverture avant : Arrivée des Hospitalières de Saint-Joseph à Ville-Marie en 1659. Verrière en exposition permanente à l’entrée du pavillon de Bullion, Hôtel-Dieu du Centre hospitalier de l’Université de Montréal. ...

Page 7

... Les sources primaires ont fourni des renseignements biographiques importants sur ce groupe relativement homogène d’individus qui ont travaillé ou, tout au moins, séjourné à Ville-Marie et dans le gouvernement de Montréal à cette époque. ...

Page 13

... Cependant, même à Québec, comme dans toute la Nouvelle-France, la très grande majorité des soins aussi bien médicaux que chirurgicaux étaient assurés par des chirurgiens. ...

Page 18

... pour accompagner celui-ci et Jeanne Mance lors de la fondation de Ville-Marie en 1642. ...

Page 19

... À cette époque, la formation des chirurgiens militaires est souvent supérieure à celle des chirurgiens civils formés pour la plupart dans des corporations ou guildes établies dans chacune des villes où la population et le nombre de chirurgiens justifient ...

Page 21

... Le gouverneur de Québec est le gouverneur général de toute la Nouvelle-France, alors que ceux de Montréal et des Trois-Rivières sont les gouverneurs administratifs uniquement des villes et des bourgs sous leur autorité. ...

Page 22

... Comme il n’y avait pratiquement pas de médecins, sauf à Québec, et que les chirurgiens dispensaient les soins aussi bien médicaux que chirurgicaux, la population ne faisait pas de distinction dans la dénomination des thérapeutes, tout comme les notaires ...

Page 23

... Même dans les villes de Québec et de Montréal, où le nombre de chirurgiens aurait justifié la formation d’une corporation, il n’existait aucune organisation professionnelle, ni aucune communauté qui aurait pu réglementer la formation de futurs chirurgiens ...

Page 27

... Une autre version existe pour expliquer le prêt du chirurgien Pouppée au fondateur de Ville-Marie. ...

Page 28

... La Providence, une fois de plus, a pris soin de nos intérêts. » Grâce aux archives judiciaires et paroissiales de Montréal et aux actes notariés, on sait que Jean Pouppée est demeuré à Ville-Marie jusqu’en août 1650. ...