Mémoire heureuse (La)

Mémoire heureuse (La)

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... Vers neuf heures et demie, mon père revenait de travailler par l’avant-dernier train, car la Banque d’épargne où il était caissier ouvrait ses portes tous les soirs de sept à huit. ...

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... Grâce à l’insistance de sa mère, il avait reçu une solide formation musicale et, lorsque celle-ci mourut, alors qu’il n’avait que dix-sept ans, il poursuivit ses études de piano et plus tard d’orgue avec d’excellents professeurs, dont le réputé pianiste ...

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... Dès six heures trente du soir, l’église était remplie à craquer pour la fête qui commençait à sept heures trente ! ...

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... Et voilà les personnages : ils sont faits d’une matière blanc-crème au fini lisse avec des traits bien rendus mais un peu poreux de l’intérieur et, de ce fait, cassants. Un ou deux 44 ...

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... N’importe qui aurait guéri avec un traitement pareil ! Nous avions aussi droit à la musique d’ambiance. C’était surtout à l’occasion de nos « maladies » que le gramophone était le plus précieux. ...

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... Il faut dire qu’à l’âge de sept ans à peine j’avais fait un départ scolaire assez peu commun. ...

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... devait l’emporter à cinquante-sept ans. Comme nous étions encore jeunes à cette époque, mes parents décidèrent d’engager une bonne, au moins le temps de laisser grandir un peu ce beau bébé, qui changeait passablement notre vie. ...

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... Pour quelle raison au juste, je ne l’ai jamais su vraiment mais, quand j’eus terminé ma septième année à l’âge de onze ans, mes parents jugèrent bon de me laisser vieillir un peu, afin que je puisse me retrouver avec des filles de mon âge, car j’étais ...

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... J’acceptai donc de refaire ma septième année, avec, comme prix de consolation, la reprise de mes leçons de piano avec sœur Zéphirin qui en fut aussi ravie que moi. ...

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... Je devais avoir six ou sept ans. Nous eûmes droit, cette fois, non pas à un, mais à trois orages consécutifs fort impressionnants. ...