Mémoires d'un notaire de campagne

Mémoires d'un notaire de campagne

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... MON ENFANCE À LA CAMPAGNE 15 s'agissait pas d'une véritable adop­ tion, je considère que ceux-ci m'ont traité comme un fils adoptif. ...

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... Cette année-là, mon grand-père avait perdu le meilleur de ses chevaux de trait. ...

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... Pour ne pas se faire traiter de «casseur de veillée», il ne refusait pas de jouer un morceau de temps à autre, mais on devinait facilement que l'exécution d'une pièce de musique était loin de constituer son passe-temps favori. ...

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... Il avait déjà été au service d'un hôtel réputé de Québec et il nous démon­ trait qu'il n'avait pas de leçons à recevoir de personne, qu'il savait satisfaire les caprices des officiers les plus gastronomes. ...

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... Les longues heures de bureau exi­ gées me paraissaient donc plus pénibles, sans compter que je devais également compenser les pertes de temps occasionnées par les traitements que je devais recevoir une ou deux fois par semaine, depuis 1963. ...

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... En dépit d'une certaine peur que le sujet peut susciter, les gens aimaient entendre traiter du testament et des successions. ...

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... On m'a aussi fourni une autre occasion de traiter d'un sujet vraiment hors de ma compétence, soit la psychologie tant du côté masculin que féminin. ...

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... Comme je n'ai jamais eu de dispositions ni, à vrai dire, d'at­ trait pour la politique provinciale ou fédérale, j'aurais de beaucoup préféré me confiner à ma petite tâche de secrétaire du comité local de l'Union nationale. ...

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... Moreau et Me Paul Charest à traiter de ce sujet lors de la 35e session, tenue à Montréal les 29 et 30 mars. ...

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... Les Notaires, Édition spéciale, Éditions et publications Premières, Paris, 1969, pp. 1 1 8- 1 20. ...