... , soit parce que ceux qui y venaient former des partis de guerre y apportaient aussi de quoi traiter. ...

Mémoires sur la dernière guerre de l'Amérique septentrionale
... Les officiers Canadiens qui y commandaient, faisaient venir de France, pour leur compte, les marchandises nécessaires pour la traite avec leurs Sauvages, leur équipement, et les présens qui leur étaient destinés. ...
... Il trouva un plan de retranchement bien tracé pour la figure du terrein, et un travail prodigieux fait pour le peu de tems qui n’avait pas été de plus de sept heures. 34. ...
... Les Français firent une centaine de chevelures et sept prisonniers. Ils suivirent les ennemis jusques à leur retranchement d’où on leur tira du canon. ...
... Elle monta à vingt-sept millions au-dessus de neuf cents mille francs. l’orignal, du caribou 43. Nom de ce munitionnaire, le plus insigne fripon qui eût encore paru en et du castor. » Amérique. ...
... Les Anglais n’avaient fait, selon lui, chez eux, une petite cabane que pour la traite ; que s’ils voulaient le venir voir, il avait fait de petits reposoirs où ils trouveraient tous leurs besoins. ...
... Elles furent rembarquées sur le bâtiment qui fait la traite du poste de Mingan. Ce bâtiment périt encore à Kamouraska, et l’équipage qui était de 280 hommes, par ces différents naufrages, fut réduit à 80, qui arrivèrent à Québec la plupart malades. ...
... Pouchot reprocha à ces chefs leur peu d’empressement à servir les Français, après les soins qu’il avait eu d’eux, ce qui était bien différent du traitement que leur faisait Johnson. ...
... On avait des chevaux de trait dans cette partie. 95 Les couvertures étaient très prisées des Amérindiens. François Coulon de Villiers (1712-1794), capitaine. ...
... Celle de Niagara qui ne passait guere, année commune, 150 paquets, monta dans ces deux mois à sept à huit cents. ...