Mesure d’un continent [Redux] (La)

... Pourtant la vingtaine de résidents de la mission Atlas historique de l’Amérique du Nord Sainte-Marie, comme des autres missions, ne forment pas de colonies de peuplement mais de simples centres missionnaires assortis de postes de traite. ...

... En 1646, celui-ci entre­ prend un voyage chez les Iroquois Agniers en compagnie du père Jogues, pour cimenter un traité de paix franco-iroquois, trop fragile pour durer. ...

... La carte se caractérise aussi par une iconogra­ phie abondante et devient ainsi un outil de formation pour les futurs missionnaires. 94     non pas laissées au hasard, de la traite des fourrures ou de l’évangélisation. ...

... À partir des années 1650, surtout par suite de la destruction de la Huronie, les Iroquois empêchent les nations concurrentes, du groupe algonquien, de traiter avec les Français et d’aller à Montréal porter leurs pelleteries. ...

... La voie reste ainsi ouverte à la traite et, par le fait même, à l’exploration des territoires lointains. ...

... La représenta­ tion cartogra­­ phique nettemment inspirée de Lahontan (voir page 96) est entourée de tableaux portant sur les marchandises traitées aux Indiens, la valeur des fourrures, les arbres du Canada, poissons, animaux, insectes. ...

... C’est que l’expédition n’est pas seulement un voyage de découverte, mais aussi un voyage de traite. Jolliet et ses hommes quittent Québec à l’automne 1672 et arrivent au poste de Michillimackinac en décembre. ...

... On lui doit à la fois l’invention du niveau à bulle et un traité sur l’art de nager. Il a fait connaître aux Français plusieurs contrées lointaines telles que la Chine, la Perse, le Japon, le Bengale et le Turkestan. ...

... Certains dirigeants locaux caressent d’ailleurs des rêves de grandeurs et encouragent les missionnaires et les traiteurs à explorer tous les recoins du continent. ...

... Cette couronne fermée surmonte un globe terrestre où l’on peut reconnaître, derrière trois fleurs de lys, les traits de la Nouvelle-France. ...