... Il y a bien le train du Soo (Sault Ste-Marie) qui s’arrête mais personne n’en descend : « Nous le changerions volontiers et avec plaisir pour le train de sept heures du soir. » Le message était lancé par le journal. ...

Mirabel en histoires
... Le vice-président affirme que sa compagnie dessert bien le chef-lieu : Malgré les remarques du journal de Sainte-Scholastique, il me semble que Sainte-Scholastique tout de même est assez bien traité. ...
... , le 12 mai 1892, par le vice-président du CPR qui disait à Me Leduc tout le plaisir qu’il avait d’« annoncer que Sainte-Scholastique a été mis sur le nouvel horaire pour le train de l’Ouest, c’est-à-dire le train pour Winnipeg qui passe chez vous à sept ...
... L’Angleterre nous traite bien aujourd’hui, je veux bien la traiter. Mais avant de travailler pour elle, je travaillerai pour mon pays. Mes amis, je suis français et j’en suis fier. ...
... et un autre septième pour un clergé protestant, créant de ce fait un obstacle insurmontable à l’ouverture de ces terres à l’ensemble des Canadiens, ce qui constituait une énorme injustice pour tous les futurs colons. ...
... L’Angleterre nous traite bien aujourd’hui, je veux bien la traiter. Mais avant de travailler pour elle, je travaillerai pour mon pays. Mes amis, je suis français et j’en suis fier. ...
... Éthier, dix-sept voix seulement séparant les deux candidats. Deux invités, l’ancien député provincial Benjamin Beauchamp et un journaliste du nom de Bergeron, épaulaient M. ...
... Girouard regagne piteusement son siège devant sept cents ou huit cents électeurs qui se posaient bien des questions. Le Journal, publication du Parti conservateur, affirma que « M. ...
... de Sainte-Scholastique morts en 1837, racontée par Joseph-Arthur-Calixte Éthier : Il y avait 50 ans passés que les Canadiens français luttaient continuellement pour les droits religieux, politiques et nationaux qui leur avaient été garantis par les traités ...
... Hughes, à l’inauguration d’une salle de la loge orangiste, à Ottawa même, n’a pas eu honte de traiter de fous et de canailles les rebelles de 1837, ces patriotes au cœur ardent qui nous ont conquis nos libertés si chères. ...