Mirabel en histoires

Mirabel en histoires

Page 36

... Gaston Saint-Jacques et du Comité des 200 ans de Saint-Benoît, nous sommes en mesure de suivre la marche du peuplement et la conquête du territoire dans l’historique paroisse de Saint-Benoît, et même dans certaines paroisses voisines. ...

Page 48

... C’est le 12 mai 1834 que Mgr Jean-Jacques Lartigue émit le décret érigeant canoniquement la paroisse. ...

Page 53

... C’est le curé Jacques Paquin, de Saint-Eustache, qui vint arbitrer le conflit et opta pour le site toujours actuel, dans la côte Saint-Pierre. ...

Page 56

... Une lettre adressée par le curé Jacques Paquin, de Saint-Eustache, à son évêque, datée du 12 février 1838, nous renseigne clairement sur les intentions des habitants du haut du Chicot : L’incendie de l’église et du presbytère fait renaître l’ancien plan ...

Page 58

... Marie-Thérèse, qui a alors 38 ans, épousera, à Lachenaie, le 30 septembre 1770, Jacques-Marie Nolan Lamarque. Finalement, ce sont les deux sœurs qui veilleront au destin de la seigneurie et les deux époux hériteront du titre de coseigneur. ...

Page 69

... Sa veuve marie le docteur Jacques Labrie (qui sera député et beau-père du Dr Chénier). Elle revend le moulin à Jean-Baptiste Coron, notaire à Sainte-Rose. À son tour, Coron vend en 1821 à John Baylis (un loyaliste venu de la Nouvelle-Angleterre). ...

Page 88

... S Gaston Saint-Jacques Histoire Québec Janvier 1999 ’il n’y a pas de traces de ces malheureuses journées à SaintBenoît, s’il n’y a ni édifice ni monument d’époque devant lesquels nous recueillir, il y a toujours une mémoire. ...

Page 93

... histoires Irascible, coléreux et vindicatif, le seigneur Dumont – qui était aussi haut officier de milice – n’avait pas oublié son échec aux élections du mois d’août 1827, alors que lui et son comparse John Simpson avaient dû concéder la victoire au Dr Jacques ...

Page 96

... chapitre 4 : saint-benoît détruit par les barbares 87 Le 15 décembre 1837 à Saint-Benoît d’après le Journal du curé Jacques Paquin Saint-Benoît avait toujours été considéré comme le fort imprenable des rebelles ; c’est là qu’on disait qu’ils avaient ...

Page 107

... Après avoir écrit dans son Journal que « la conduite de Sir John Colborne pendant toute cette campagne a été d’une douceur admirable », le curé Jacques Paquin changera d’idée et, quelques années plus tard, dans ses Mémoires, il en parlera comme d’un boucher ...