Mon tour est arrivé. Je passe

... Monsieur Guybé n’a subi que la première intrusion il y a peu, la seconde devant suivre, sept jours après la première, pourvu que le cancer soit déclaré extirpable. ...

... Monsieur Guybé en a profité pour introduire l’argument ad hominem qu’il jugeait sans doute le plus fort : — Vous voyez, ça fait dix-sept ans que vous avez cessé de fumer et vous avez un cancer. ...

... à dire vis-à-vis de monsieur Tanguay, je ne veux pas déranger ses traitements...  ...

... Les mots me manquent pour dire comme vous m’avez bien traité : tellement bien que je n’ai jamais eu la moindre inquiétude. — Vous aussi, vous avez bien fait ça ! Le chirurgien n’est pas seul responsable, quand les choses vont bien ! ...

... En Amérique du Nord il faudrait, pour espérer venir à bout des maladies qui procèdent de la consommation du tabac, que la dépense pour la protection soit deux fois supérieure à la dépense pour le traitement. ...

... mon tour est arrivé : traitement. À ce taux, on a réussi pourtant à réduire la mortalité à un malade sur deux. Qu’est-ce qu’on ne ferait pas, si les rapports étaient inversés ! ...

... Une petite tache au poumon qui n’a l’air de rien et qu’il s’agit d’explorer pour vérifier si elle est une tumeur maligne, puis, qu’il s’agit de traiter ou de contrer puisqu’elle l’est, etc., etc. ...

... Mais le médecin n’a pas pu, à cause de l’âge et de l’emphysème de son patient, retenir le traitement par chirurgie, et le traitement par radiothérapie n’a pas réussi à sauver le malade. — Dis-moi pas que je vais être le quatrième... ! ...