Montréal, nid d'espions

Montréal, nid d'espions

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... Une traite bancaire signée par le président de l’Ontario Bank, Henry Starnes, peu avant de devenir maire de Montréal, fut retrouvée sur John Wilkes Booth lorsqu’il fut abattu à la ferme Garrett en Virginie. ...

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... Aucune restriction légale n’empêchait les banques canadiennes de traiter avec les confédérés. Dès le début du conflit, la Couronne avait reconnu le Nord et le Sud comme des « belligérants » légitimes en guerre. ...

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... Jacob Thompson préparait une traite d’un montant considérable au nom d’un employé de confiance de la banque, qui le contresignait immédiatement au nom du véritable bénéficiaire. Le bureau des pilotes, côté ouest de la place d’Armes, Montréal, QC. ...

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... Toute personne souhaitant traiter avec les confédérés faisait également appel à eux, et cet intérêt pour le commerce s’accrut à mesure que les avantages du blocus devenaient évidents. ...

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... Murray affirma que Coles avait 600 $ en espèces, quelques lettres et un certain nombre de traites de 5 000 $, chacune tirée sur la Banque de Montréal. ...

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... Contre toute attente, ces victoires – telles que les batailles des sept jours devant Richmond, Manassas, Fredericksburg et Chancellorsville – ainsi que l’impasse sanglante à Sharpsburg/Antietam, eurent peu de conséquences sur la politique de Washington ...

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... Une traite bancaire de 61 livres sterling (de 450 $ à 550 $ environ selon le taux de change du premier trimestre de 1865) signée par H.  ...

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... En mettant son veto implicite au projet de loi Wade-Davis, Lincoln rejetait leurs projets de reconstruction brutale et leur intention de traiter le Sud comme un territoire conquis qui serait gouverné par l’armée. ...

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... Par exemple, le président de l’Ontario Bank, Henry Starnes, permit à Jacob Thompson d’émettre des traites bancaires au nom d’employés de la banque, qui les endossaient ensuite 49.  James Conroy, Our One Common Country. ...

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... Il craignait que les membres du cabinet vaincus soient traités « avec mépris et violence ». Jouissant d’une excellente réputation d’intégrité, Black avait même la confiance des services secrets confédérés. ...