... Il ne s’agit plus de la seule histoire d’un commis de la traite des fourrures et d’un agriculteur, mais, par ricochet, de celle d’une famille et d’une petite communauté. Conviendrait-il mieux alors de se revendiquer de la microhistoire ? ...
Neil et John McLaren
... Daniel Bertaux, L’enquête et ses méthodes : le récit de vie, Paris, Armand Colin, 2010, p. 35-37, 83. ...
... Russel Bouchard, Quatre années dans la vie du poste de traite de Chicoutimi (1800-1804) : journal de Neil McLaren, Chicoutimi, Russel Bouchard, 2000, p. 259-261, corrigée et traduite à l’annexe 1, ci‑après. ...
... Cette valeur sémantique a traversé le temps jusqu’à aujourd’hui et les historiens y recourent pour décrire l’épisode de la traite des fourrures. Accoler à McLaren cette expression, dans son sens vieilli, dissone pourtant avec sa pratique. ...
... Après son séjour dans les postes de traite, il passa sa vie dans la seigneurie de Mount Murray. C’est cette époque qu’il faut reconstituer pour lui découvrir un véritable côté marchand. ...
... 68 N EI L ET JOH N MC L A R EN des acteurs principaux dans l’établissement des premiers postes de traite sur le territoire de l’actuelle province de la ColombieBritannique. ...
... Ils allaient donc initier McLaren non pas au monde de la traite des fourrures, mais plutôt à celui des pêcheries. ...
... années, auprès du marchand James Hunt, qui acceptait de lui « montrer le négoce et commerce et tout ce dont il se mêle en icelui » et s’engageait à le loger, coucher, nourrir, entretenir, blanchir et raccommoder, le tout décemment suivant son état, le traiter ...
... Le monde de la traite des fourrures auquel il appartiendrait au cours des années suivantes voguait alors vers ses dernières heures de gloire. ...
... À cette modification de la zone de traite se conjugue le blocus continental découlant des guerres napoléoniennes. ...