Neil et John McLaren

Neil et John McLaren

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... En ce qui a trait à l’orge, les commissaires aux grains prirent entente avec les marchands James et John McCallum, qui expédièrent à la Malbaie et aux Éboulements les 300 minots qui y étaient prévus ; BANQ, CN301,S230, acte no 7305, du 29 avril 1817. ...

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... Les interdictions de traite, sous quelques formes que ce soit, figuraient au premier chef. ...

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... L’emploi d’animaux de trait, bœuf ou cheval, facilitait grandement le défrichement de la terre et la culture du sol, et assurait une meilleure efficacité dans les activités de charroi. ...

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... En ce qui a trait aux cultures, les deux familles se ressemblent peu. ...

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... En ce qui a trait à l’étendue de la censive des McLaren, le changement de perspective n’altère pas l’idée première d’un cas d’exception. ...

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... Pour la conversion des anciennes mesures, voir aussi Jean-Antoine Bouthillier, Traité d’arithmétique pour l’usage des écoles, quatrième édition, revue et corrigée, Québec, Caez R. Middleton, 1852. 120.  ...

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... Port-au-Persil – qui pouvait géographiquement présenter quelques traits familiers avec son Perthshire natal3 – fut un choix délibéré de la part de Neil McLaren. ...

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... Selon d’autres souvenirs familiaux retranscrits par Victor Tremblay, Neil McLaren n’aurait pas abandonné Chicoutimi « pour de bon », lorsqu’il quitta le poste de traite en 1804 ; il y serait revenu « encore plusieurs fois après18 ». ...

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... 238 N EI L ET JOH N MC L A R EN encadré 14 Comment les McLaren ont exploité la « pluriactivité » décrite par Gérard Bouchard Comme leur père avant eux, John et David McLaren renouèrent avec l’expérience du monde de la traite. ...

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... Il aurait commencé sa carrière comme maître d’école, tout en goûtant à l’aventure dans les postes de traite, où il épousa Agnès Siméon vers 1815. De 1833 à 1844, il aurait été commis au poste de la rivière Godbout. ...