Neil et John McLaren

Neil et John McLaren

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... Les trois premiers clients du jeune McLeod retrouvés en archives seraient James Alexander, François Truchon et Joseph Savard, auxquels il consentit des sommes de 10 £ à 15 £ « en vertu d’une traite sur l’office de ladite honorable Compagnie de la Baie ...

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... Il recommanda à sa sœur de traiter John avec douceur, car il aurait besoin de son aide pour écouler son bois. ...

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... Lui était aussi interdit de chasser ou de traiter avec les Autochtones. ...

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... Outre le lait trait pour approvisionner la maisonnée, 150 livres de beurre avaient été barattées. ...

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... Par contre, les cinq sous-officiers-rapporteurs furent traités sans clémence ; ils furent mis sous la garde du sergent d’armes en attendant d’être jugés convenablement pour leur « grave infraction des privilèges de l’Honorable Assemblée législative49  ...

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... John eut droit à un traitement de faveur. La Chambre lui accorda un délai de quinze jours pour produire des témoins au soutien de sa défense. Le lundi 12 mars, le sergent d’armes fit rapport aux membres de la Chambre. ...

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... Pratiquant en quelque sorte le pari de Pascal, il cherchait néanmoins à être reconnaissant envers John, qui s’était démené pour lui, et il « ne souhaitait en aucun cas lui nuire111 ». 109.  ...

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... Québec, Conseil exécutif, arrêté en conseil, no 328, du 3 juillet 1889, signalé par Patrick Blanchet, Feux de forêt : l’histoire d’une guerre, Montréal, Trait d’union, 2003, p. 44. 105.  ...

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... Sur les tirs de mousquet, voir Carolyn Podruchny, Les voyageurs et leur monde : voyageurs et traiteurs de fourrures en Amérique du Nord, Québec, PUL, 2019, p. 261. 7.  ...

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... N’eût été le journal tenu durant son expérience dans les postes de traite, il n’aurait peut-être jamais émergé de l’anonymat ni figuré comme un personnage significatif dans l’histoire du pays charlevoisien. ...